Déjà disponible !
Autobiographies de chercheur·se·s, lecteur·ice·s, scripteur·ice·s (licence institutionnelle)
$149.00sous la direction de
Bénédicte Shawky-Milcent, Nathalie Brillant Rannou,
François Le Goff, Nathalie Lacelle
Dès la fin des années 1990, une génération de didacticiens de la littérature, soucieux de la subjectivité des élèves entreprend d’interroger l’expérience vécue des lecteurs, experts ou apprentis. Depuis l’intérêt porté aux autobiographies de lecteurs de Pierre Dumayet, Annie François, Agnès Desarthe…, l’objectif est de dépasser les postures prescriptives afin de cerner les processus en jeu dans le rapport du lecteur aux textes littéraires. Cette ambition portée en premier lieu par Gérard Langlade, Annie Rouxel, Marie-José Fourtanier, Jean-François Massol, ne cède rien aux exigences de la recherche en littérature. On note d’ailleurs qu’au gré des décennies d’engagement en didactique, chacun de ces chercheurs s’est fortement impliqué en littérature : Jean-François Massol est reconnu en tant que spécialiste de Roger Martin du Gard, Annie Rouxel a notamment travaillé sur Gide, sur l’Oulipo, Marie-José Fourtanier sur les littératures francophones.
Mais ces pionniers en didactique de la littérature n’oublient jamais leur but : contribuer au renouvellement de l’enseignement du français, déverrouiller les pratiques sclérosantes, interpeller la créativité des élèves et des enseignants, défendre les Lettres et les arts partout où leur transmission passerait pour secondaire ou désuète.
Aussi, le volume que nous entreprenons dans une tonalité ouvertement amicale, ne se cantonne pas à sa fonction d’hommage : il tente de contribuer à une connaissance toujours accrue des rouages de la lecture, de l’écriture et de la didactique de la littérature dans une démarche empirique et l’expérience du faire. Nous proposons aux contributeurs qui se reconnaissent dans les travaux menés depuis Grenoble, Toulouse, Rennes, ou qui ont partagé une partie du chemin, de s’emparer à leur manière, non sans plaisir, du protocole des autobiographies de lecteur, de scripteur auquel nous ajoutons celui de chercheur.
AVEC LA PARTICIPATION DE :
Sylviane Ahr • Claire Augé • Marie Bernanoce-Brulotte • Laurence Bertonnier • Béatrice Bloch • Nathalie Brillant Rannou • Magali Brunel • Micheline Cambron • Jean-Charles Chabanne • Marie-Sylvie Claude • Noël Cordonier • Sylvie Dardaillon • Séverine De Croix • Isabelle De Peretti • Neide Luzia de Rezende • Olivier Dezutter • Micheline Dispy • Jean-Louis Dufays • Jean-Louis Dumortier • Sylvie Farré • Sonya Florey • Marie-José Fourtanier • Aldo Gennaï • Marcel Goulet • Violaine Houdart-Mérot • Nathalie Lacelle • Gérard Langlade • Véronique Larrivé • Dominique Ledur • François Le Goff • Monique Lebrun • Stéphanie Lemarchand • Brigitte Louichon • Luc Maisonneuve • Catherine Mariette • Jean-François Massol • Catherine Mazauric • Sébastien Ouellet • AMarie Petitjean • Annie Rouxel • Max Roy • Marion Sauvaire • Anne Schneider • Amor Séoud • Pierre Sève • Bénédicte Shawky-Milcent • Noëlle Sorin • Christian Vandendorpe • Jean Verrier • David Vrydaghs • Cendrine Waszak
Expérience et partage du sensible dans l’enseignement de la littérature (licence institutionnelle)
$149.00sous la direction de
Nathalie Brillant Rannou, Marion Sauvaire, François Le Goff
Près de vingt-cinq ans depuis la publication de l’essai de Jacques Rancière, Le Partage du sensible, mais aussi après la traversée de plusieurs tragédies, dont la mort de notre collègue Dominique Bernard à Arras à qui nous rendons hommage, la question du sensible en littérature demeure impensée dans ce lieu hautement politique qu’est l’école : comment le sensible s’y trouve-t-il construit ou déconstruit ? De quel commun relève-t-il ? Quelles expériences scolaires et littéraires requièrent ou génèrent du sensible et quels apprentissages effectifs peuvent s’y nouer ? Jusqu’à la reconnaissance du sujet lecteur et des lectures subjectives au cours des années 2000, le sensible réduit à la sensibilité de l’apprenant, était surtout tenu à distance. Pourtant, s’interroger en didactique de la littérature à travers le prisme du sensible permet de questionner la discipline « français », la construction des expériences de classe, les outils d’analyse didactique et plus globalement l’épistémologie même de la recherche.
Aussi tenté que l’on puisse être d’évoquer la « part sensible » de l’enseignement de la littérature, on préférera ici interroger le sensible en tant que vecteur de l’acquisition des savoirs, voire de leur élaboration. Comment des expériences sensibles façonnent-elles l’appropriation littéraire ? En quoi les pratiques littéraires contribuent-elles à rendre intelligible l’expérience sensible du sujet et du monde ? C’est à cet ensemble de questions que contribue cet ouvrage qui, après Voies du sensible : expériences dans l’enseignement de la littérature paru aux Presses de l’Écureuil en 2023, se présente comme un des jalons d’une didactique toujours en devenir.
AVEC LA PARTICIPATION DE :
Diamanti Anagnostopoulou • Brahim Azaoui • Sandrine Bazile • Nicole Biagioli • Nathalie Brillant Rannou • Marie-Sylvie Claude • Nathalie Denizot • Stéphanie Genre • Gérard Langlade • Stéphanie Lemarchand • Brigitte Louichon • François Le Goff • Jean-François Massol • Marianna Missiou • Laetitia Perret • Agnès Perrin-Doucey • Michèle Petit • AMarie Petitjean • Marion Sauvaire
Expérience et partage du sensible dans l’enseignement de la littérature
$9.99 – $44.95sous la direction de
Nathalie Brillant Rannou, Marion Sauvaire, François Le Goff
Près de vingt-cinq ans depuis la publication de l’essai de Jacques Rancière, Le Partage du sensible, mais aussi après la traversée de plusieurs tragédies, dont la mort de notre collègue Dominique Bernard à Arras à qui nous rendons hommage, la question du sensible en littérature demeure impensée dans ce lieu hautement politique qu’est l’école : comment le sensible s’y trouve-t-il construit ou déconstruit ? De quel commun relève-t-il ? Quelles expériences scolaires et littéraires requièrent ou génèrent du sensible et quels apprentissages effectifs peuvent s’y nouer ? Jusqu’à la reconnaissance du sujet lecteur et des lectures subjectives au cours des années 2000, le sensible réduit à la sensibilité de l’apprenant, était surtout tenu à distance. Pourtant, s’interroger en didactique de la littérature à travers le prisme du sensible permet de questionner la discipline « français », la construction des expériences de classe, les outils d’analyse didactique et plus globalement l’épistémologie même de la recherche.
Aussi tenté que l’on puisse être d’évoquer la « part sensible » de l’enseignement de la littérature, on préférera ici interroger le sensible en tant que vecteur de l’acquisition des savoirs, voire de leur élaboration. Comment des expériences sensibles façonnent-elles l’appropriation littéraire ? En quoi les pratiques littéraires contribuent-elles à rendre intelligible l’expérience sensible du sujet et du monde ? C’est à cet ensemble de questions que contribue cet ouvrage qui, après Voies du sensible : expériences dans l’enseignement de la littérature paru aux Presses de l’Écureuil en 2023, se présente comme un des jalons d’une didactique toujours en devenir.
AVEC LA PARTICIPATION DE :
Diamanti Anagnostopoulou • Brahim Azaoui • Sandrine Bazile • Nicole Biagioli • Nathalie Brillant Rannou • Marie-Sylvie Claude • Nathalie Denizot • Stéphanie Genre • Gérard Langlade • Stéphanie Lemarchand • Brigitte Louichon • François Le Goff • Jean-François Massol • Marianna Missiou • Laetitia Perret • Agnès Perrin-Doucey • Michèle Petit • AMarie Petitjean • Marion Sauvaire
Imaginaires du corps, sensualités imaginées
$9.99 – $35.95Actes du colloque 2021 du Laboratoire des Imaginaires
sous la direction de
Emmanuelle Lescouet, Marie Kergoat
Imaginaires du corps, sensualités imaginées sont les actes du colloque du même nom qui s’est tenu à Rennes, en 2021, en une période où la notion même de corporalité semblait nous échapper.
Souhaitant résolument désancrer le terme sensualité de la notion de sexualité, ce colloque, et les articles ici présentés, sont l’occasion d’en explorer les frontières tout en revenant à l’essence même de la sensualité, capacité corporelle extraordinaire sur laquelle on s’attarde trop peu souvent.
Considéré comme le siège de l’âme, le corps est avant toute chose celui des sens, et en proposant de nouvelles perspectives, la fiction d’imaginaire propose ainsi une définition de cette matérialité complexe à saisir.
De la fantasy à la science-fiction en passant par le fantastique, ces actes de colloque vous proposent un geste transmédiatique au cœur des sens et des corps.
Né à Rennes, le Laboratoire des Imaginaires est une association de jeunes chercheur·euse·s œuvrant dans les cultures de l’imaginaire, et qui cherche par là à valoriser ces deux constituantes : celleux qui mènent ces travaux universitaires, et les objets sur lesquels iels mènent leurs recherches, artefacts de passion autant que de réflexion.
AVEC LA PARTICIPATION DE :
Amélie Téhel • Marie Kergoat • Amélia Fiset • Pascale Laplante-Dubé • François-Xavier Surinx • Noémie Javel • Daniel Sanchez Medina • Jessica Ragazzini • Crys Aslanian • Wladislas Aulner • Oriane Guiziou-Lamour
Voies du sensible : expériences dans l’enseignement de la littérature
$9.99sous la direction de
Nathalie Brillant Rannou, Marion Sauvaire, François Le Goff
Longtemps refoulé de l’enseignement car suspecté de nuire à une acquisition rationnelle des savoirs, le sensible est aujourd’hui objet de considération, tant dans le champ scolaire que dans l’espace social. Levier capital pour la communication, vecteur de vie commune et de partage, le sensible concerne au premier chef la didactique de la littérature qui, depuis plus de vingt ans, interroge les capacités d’apprentissage du sujet lecteur.
Dans ce premier volume rassemblant une partie des travaux présentés lors des 20es Rencontres des chercheuses et chercheurs en didactique de la littérature, des spécialistes rendent compte diversement des effets de la prise en compte du sensible en cours de français, depuis la maternelle jusqu’à la formation des enseignants. Les notions de corps sensible, d’empathie fictionnelle, de voix, parmi d’autres, balisent la sélection d’expérimentations analysées.
AVEC LA PARTICIPATION DE :
Sonya Florey • Noël Cordonier • Cécile Couteaux • Marion Mas • Anne Schneider • Isabelle Ferry • Bénédicte Shawky-Milcent • Ana Dias-Chiaruttini • Aurélie Armellini • Sylvie Laurent-Farré • Nadine Pairis • Samira Bahoum • Samira Malaki • Nathalie Borge • Véronique Larrivé • Neide Luzia de Rezende • Gabriela Oliveira • Sarah Vervloet Soares • Kirsten Husung • Rosiane Xypas • Tonia Raus • Sébastien Thilges • Corinne Frassetti-Pecques • Caroline Allingri • Antje-Marianne Kolde • Catherine Fidanza • Bénédicte Duvin-Parmentier • André Scherb • Claudine Desmoulières • Virginie Glory