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Llana of Gathol

$2.99$25.00

Édition originale en anglais.

 

Il s’agit du dernier livre publié du vivant de Edgar Rice Burroughs. Les histoires de Llana of Gathol ont un ton un peu plus humoristique que les entrées précédentes de la série Barsoom, et ce livre est considéré comme un exemple de Burroughs s’engageant dans l’auto-parodie à la fin de sa carrière. Les histoires de ce recueil tournent autour de la petite-fille de John Carter, Llana de Gathol, qui joue le rôle de “demoiselle en détresse” joué par Dejah Thoris et Thuvia dans les précédents épisodes de la série Barsoom.

Résumé : En quête de solitude, John Carter s’envole vers la ville déserte de Horz. Par l’une de ces coïncidences fréquentes dans les livres de Burroughs, il découvre sa propre petite-fille, Llana de Gathol, qui est retenue en captivité. Les tentatives ultérieures pour ramener Llana saine et sauve chez elle entraînent Carter, Llana et Pan Dan Chee, un jeune homme qu’ils recueillent en chemin, dans une série d’aventures. Ils rencontrent un ancien hypnotiseur fou qui a préservé les gens pendant près d’un million d’années grâce au pouvoir de l’hypnotisme. Ils trouvent une vallée occupée par des hommes noirs qui les emprisonnent. Ils se rendent sur la terre de Pankor où les soldats sont congelés et gardés en réserve jusqu’à ce qu’ils soient nécessaires pour une guerre. Enfin, ils atteignent la terre d’Invak où les habitants sont passés maîtres dans l’art de l’invisibilité.

John Carter of Mars

$2.99$25.00

Édition originale en anglais.

 

John Carter de Mars (titre original : John Carter of Mars) est un recueil de nouvelles basées sur le personnage de John Carter créé par Edgar Rice Burroughs, onzième et dernier livre du Cycle de Mars qui se déroule sur Barsoom. Le livre, qui suit Llana de Gathol, est constitué de deux nouvelles : John Carter and the Giant of Mars, écrit par John “Jack” Coleman Burroughs, fils de E.R. Burroughs qui aurait revu et finalisé l’histoire et Skeleton Men of Jupiter.

Flatland ou le Plat pays

$2.99$23.00

Édition bilingue français-anglais.

 

Un carré ne peut que vivre à Flatland, l’univers à zéro, une ou deux dimensions. L’auteur décrit les styles de vie de pointland, de lineland et de surfaceland, trois composantes du pays Flatland. Dans ce pays plat, les figures ont développé des croyances, des certitudes et des mœurs fondées sur de bonnes raisons ou des expériences plus ou moins vérifiables mais bien ancrées dans la société.

Edwin A. Abbott dote un carré d’une conscience. Celle-ci serait-elle moins égocentrique que celle d’un point ou d’une ligne ? Chacun son monde de platitude. Admettons cependant que l’on puisse assister au moment invraisemblable et non moins formidable de la découverte de la troisième dimension par ce carré qui n’a même pas pour lui un statut social lui permettant de diffuser sa vision du monde.

 

Flatland est une allégorie publiée en 1884, où l’auteur, Edwin Abbott Abbott, donne vie aux dimensions géométriques, le point, la ligne et les surfaces, avant d’en arriver à faire découvrir l’univers des volumes par un carré. Cette allégorie n’est pas sans rappeler la sortie de la caverne, voire le cheminement de Don Quichotte, l’hidalgo de Cervantes. En outre, Flatland peut conduire à imaginer des dimensions spatiales supérieures aux trois dimensions que nous connaissons.

Aventures d’Alice au pays des merveilles

$2.99$23.00

Édition bilingue français-anglais.

 

« Les Aventures d’Alice au pays des merveilles » (titre original : “Alice’s Adventures in Wonderland”), fréquemment abrégé en « Alice au pays des merveilles », est un roman publié en 1865 par Lewis Carroll, nom de plume de Charles Lutwidge Dodgson. Le livre a été traduit en français pour la première fois en 1869 par la même maison d’édition (Macmillan and Co).

À l’origine, lors de sa première écriture, le livre n’était pas destiné aux enfants. L’écriture fut reprise une seconde fois pour les enfants en conservant les personnages merveilleux qui la rendaient si attrayante pour ce jeune public. Le roman foisonne d’allusions satiriques aux amis de l’écrivain et aux leçons que les écoliers britanniques devaient mémoriser à l’époque. Le pays des merveilles, tel qu’il est décrit dans le conte, joue sans cesse avec la logique.